Huit jours après son 100km, qu’il a bouclé en 8h04mn27s soit une moyenne de 12,4km/h Patrice Bruneteau nous livres ses impressions :
« Les conditions étaient très bonnes durant les 4 premières heures, ensuite la chaleur a fait son travail et les organismes des coureurs ont du revoir à la baisse leurs prévisions chronométriques y compris les miennes.
Comme prévu, je passais au passage du Marathon en 3h00 en laissant partir les trois hommes de tête.
A mi-parcours, les jambes n'y étaient plus et l'allure non plus, il ne faut pas pour autant oublier qu'il reste encore à ce stade de la course 50 kms à parcourir et que tout peut arriver avant l'ultime ligne droite.
Mais dans ce type d'épreuve, vous ne pouvez compter que sur vous même et ce, malgré toute l'importance et l'aide précieuse de votre accompagnateur, c'est vous qui courez avec votre forme du jour.
Jusqu'au 83ème km, l'avance des hommes de tête n'était que de quelques minutes, c'est seulement au cours du dernier tour, que les écarts se sont véritablement creusés.
83ème km et 6h25' de course pointé en quatrième position à quelques minutes du trio de tête, il m'a été impossible de revenir sur eux et j'ai terminé cette course en courant de bout en bout avec l'apparition à mi-parcours de douleurs musculaires aux cuisses au niveau des insertions du bassin.
Très content d'avoir été jusqu'au bout avec Véro de ce 100 km, malgré un résultat en dessous de mes prévisions et une légère inflammation du tendon d'Achille de la jambe gauche. »
Comme prévu, je passais au passage du Marathon en 3h00 en laissant partir les trois hommes de tête.
A mi-parcours, les jambes n'y étaient plus et l'allure non plus, il ne faut pas pour autant oublier qu'il reste encore à ce stade de la course 50 kms à parcourir et que tout peut arriver avant l'ultime ligne droite.
Mais dans ce type d'épreuve, vous ne pouvez compter que sur vous même et ce, malgré toute l'importance et l'aide précieuse de votre accompagnateur, c'est vous qui courez avec votre forme du jour.
Jusqu'au 83ème km, l'avance des hommes de tête n'était que de quelques minutes, c'est seulement au cours du dernier tour, que les écarts se sont véritablement creusés.
83ème km et 6h25' de course pointé en quatrième position à quelques minutes du trio de tête, il m'a été impossible de revenir sur eux et j'ai terminé cette course en courant de bout en bout avec l'apparition à mi-parcours de douleurs musculaires aux cuisses au niveau des insertions du bassin.
Très content d'avoir été jusqu'au bout avec Véro de ce 100 km, malgré un résultat en dessous de mes prévisions et une légère inflammation du tendon d'Achille de la jambe gauche. »
Bravo à lui !
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